ESPACE DETENTE (espèce de tante)
Selon une supputation Rabelaisienne sujette à controverse par les éthologistes, « le rire est le propre de l’homme ».
Certes il ne fait pas bon mariage d’aborder un sujet gay dans des temps où marine la Pen, sinon on vire en eaux de Boutin. Mais sans faire de table rase, abordons mon ami, un sujet très gay, « rit donc » pour nous réserver un espace détente.
Je vous avoue, s’il en est, qu’il n’est pas aisé d’être drôle même si on me pense bon bougre, de toucher encore aux hommes, dans ses comportements avec ses corollaires socio sociétaux. A l’instar de feu Golda Meir beaucoup se pose toujours la question qu’Israël dans le débat contradictoire, entre l’inné et l’acquis ?
Si ça tourne autour de l’hiatus, le style d’ampoule recta éclatera, dans l’esprit de beaucoup, mais je vous con-jure, rassurez vous il y aura du grec et de la religion et l’incontournable « connais-toi toi-même » des amours socratiques ne sera pas oublié, même si on découvre que parfois l’homme en Ruth laisse Booz tranquille. Pas plus ne sera oubliée l’évocation non réservée à l’extrême droite des Paix des Races un combat commun où se cherche l’éradication et l’amalgame en monnaie courante. Je sais, c’est long, mais en ce domaine c’est comme les impôts, c’est toujours le troisième tiers le plus douloureux. Je vous rassure la digression, bien que ma Meir est évoqué ici, n’est pas l’objet d’une étude au XXIIème congrès de zoologie d’Haïfa en 2012.
Enfin pour en finir avec cette introduction, qui peut paraître douloureuse mais le sujet s’y prête quand l’esprit de l’interlocuteur ne fait que s’y arrêter résumant la chose qu’a cela, queues des puristes soient apaisés. Le parallèle du propos n’est pas dans le fondement, bien que l’un et l’autre connaisse des coming-out d’externalisations ou de cœrcitions et des outing calomniateurs ou dénonciateurs. Il est, parce que nous sommes ce que nous sommes dans l’humanité ! Parfois des êtres que l’on dit humains… Après tout si l’on en croit Darwin, l’homme descendrait du singe, le singe de l’arbre mais au moins ma famille descend là où sans doute remonte certains.
Alors je suis qui ? Un anime mâle ?
Pardon pour l’option si à contrarier le LEVI tique, Primo « si c’est un homme » c’est mon choix, secundo je demande une « trêve » si la nature de ma chimie c’est pas toujours du Ghetto, je n’aime pas le partisan qui le vit vain très the pour credo.
ECCE HOMO.
Deux classifications sont proposées : Liné (mais je me plante pour l’atavisme) et Darwin pour l’acquis.
Arrêtons ! « l’Homo Erectus » en ces deux définitions issues de ces deux approches de ses sujets d’ébats :
- Le premier cas sis dans le gonopode (les zoologistes de la salle me pardonneront l’association d’image pour le deuxième termes), en deux variétés : Le testorophile ou l‘anaprogestofère intégré dans la sous-classe herbivores (régime à base de carottes, oignons, ail, poireaux, ou gazon …) ou fructivore (abricots, figues, prunes). Pourtant on le soupçonne de rester ominovore.
- Le second, son prédateur, l’Orchopode de la famille des primates acéphale taxon végétatif à tendance angiosperme bicotylédones caquques, surtout aperçu en cuniculture et parasitaire en conchyliculture.
Le premier ne serait qu’une aberration éco systémique dû à la supputation de sa reproduction parthénogénétique en opposition à la reproduction sexuée naturelle du second.
Alors tu sais ce qu’il te dit le cassis ?
Nature or not Nature ?
Mis à part un mystère la Hyène, dont la reproduction n’a jamais été observée et pour laquelle le sexe est rarement établi, tous les goûts sont dans la nature mais elle n’a jamais été trop aidée puisque comme en l’Etat elle recule, 1500 espèces dont 400 vertébrés connaissent des comportements d’anthropomorphisations homosexuels passant du Lion au Dauphin. 500 espèces sont répertoriées ainsi. Si la constante se retrouve dans les espèces sexuées, elle est typiquement féminine chez le lézard parthénogénétique du fait de la disparition du male, et surtout féminine chez le macaque, et complètement délirante chez le Bonobo (masturbation, homosexualité, gérontophilie) mais jamais pédophilie ! Ce domaine est donc bien contre-nature.
Ces accouplements observés, érigés en Con de Tantes, trouvent trois origines :
- Hiérarchique : comme le cerf, le phoque et le lion entres autres, soumission au male ou à la femelle dominante dans une société structurée en meute. On appellerait ceci un principe gouvernemental en pyramide, et je ne pointe pas là un fait d’Etat.
- Cœrcitive : par l’incapacité à trouver l’autre sexe en période de rut ou pour une vie commune (pingouin, oiseaux…) observé aussi en milieux fermés, prisons, couvents, casernes, et autres zoos.
- Symbiotique : comme le Bonobo, la Bouvarde ou la perdrix. Ne vous en déplaisent aussi, le lièvre et le lapin. Se range dans cette catégorie deux exceptions : les espèces hermaphrodites qui par définitions sont bisexuelles et les espèces transgenres dont l’huître qui change de sexe à volonté (je ne sais pas si la chose est observable chez le morpion …désolé.)
Reste que si le Coït n’est pas toujours consommé, il peut aussi être observé sous une forme masturbatoire comme chez les poissons.
Bon, Oublions la Hyène (haine) entre nous, comme le rictus du singe assimilé au rire, la controverse sur le naturel est close. Mis à part la fonction reproductive de l’espèce, il n’y a pas beaucoup de contre-nature dans tout cela.
Sur les vies des Bêtes, n’ayant pas le talent Frédéric Rossif « dans la cité des hommes (1966), « la fête sauvage (1973), de nos « amis les Bêtes (1961), « de notre temps (1962) », « aussi loin que l’amour (1971) », reste un « opéra sauvage (1975) », qui se heurte surtout sur « un mur à Jérusalem (1968) », je veux bien être taxé de Vangélisme, si cela a un sens, voir un « Saint sens » (qu’il me pardonne m’avoir approprié « le carnaval des animaux ») et sans déranger les mannes de Brassens, « la mauvaise réputation » dans les vits tics vint très certainement (lévitique 20.13 ?).
Comment s’opéra, à l’heure du crépuscule des Dieux, l’antagonisme entre Divan le terrible et Pédéraste et médisante ?
Finalement, s’il fallait filer à l’anglaise « goût no ! » pour une nuit sur le Mont Chauve, « Carmen », Messie Dixit Haendel, (mais on peut aussi aimé Benjamin Britten), tout cela c’est de la faute à la tentation.
Comme le rictus du singe est assimilé au rire, la controverse sur le naturel est close, disais-je, même pour les anthropomorphes déistes, mis à part la fonction reproductive de l’espèce, il n’y a pas beaucoup de contre-nature. Soit ! Mais l’homme est un animal pensant et peut-on sciemment laisser entrer le vice dans les temple de la vertu ? Posons donc le manichéisme, source des mots et des maux. Aux mots pour le dire, je me livre peut être un peu ? Il est vrai qu’en ce domaine il y a religion. Même si on le prend comme une reine, l’éducation sexuelle se résume-t-elle pour le « Livre » à se mettre sous les couvertures et ne pas tourner les pages ? Comme pourrait le penser quelques bons pasteurs en rage de recevoir des commandements, des charpentiers qui jurent à de pas toucher Dubois, ou ce Chamelier précis las de n’être fol du désert, oublions les mille et une nuits et paraphrasant Malraux intéressons nous à la métamorphose d’odieux, et pour ceux qui ont le cafard, il reste Kafka, pour faire le Procès.
Quittons les Genets sous haute surveillance (1949) voyons plus loin que le balcon et derrières les paravents. Hissons le foc, le Pirée est en vue (le pire est à venir), il fera Beauvoir pour le troisième sexe. Que le Meat coule pas ! Dus sais-je pour la Marine et Louis Pasteur faire de la Pen à Céline. On ne va pas en faire une maladie sur les générations spontanées.
VA TE FAIRE VOIR CHEZ LES GRECS.
Tournant autour du Désir, laisse-moi lecteur patient, entamer le « voyage, voyage ». Enfilons nos sacs à dos, et s’il fait froid dans la vie (pour les fans de Céline (Dion m’en garde, pas pour la bagatelle, restons sérieux, jusqu’au bout de la nuit) ou de Roch (là on Voisine si t’es ok, avec la rage, mais si ça reste acrobatique c’est surtout sur l’Hudson qu’on trouve le cas)) mettons la canadienne cela réchauffe le coeur comme on dit à Ottawa. Pour ceux qui n’aime pas le bateau, qu’il soit à voiles ou a vapeur, on peut toujours prendre la Mercury et faire un tour dans le Quenn’s, en sirotant un Black and Wilde (pardon White) et écouter du Franck Michael.
Si vous en êtes, faite moi l’amitiés particulière de m’accompagner chez les antiques, (pas les antiquaires, quoi queue …). En ces temps là, les Athéniens s’atteignirent, les Satrapes s’attrapèrent. On ne sait ce que firent les Kurdes mais en tout cas les Perses se percèrent, bien avant 1943.
Au fil des siècles, l’apologisme du Patriarcat prôné par les cultes solaires au détriment du matriarcat des cultes lunaires, engendre pernicieusement un problème mal digéré par la Judéo-chrétienté. Certes, l’humanisme séculiers ayant accordée depuis la controverse de Macon à la deuxième moitié de l’humanité une âme, l’animal des deux sexes, qui est en nous (pas forcément le cochon qui sommeille), aurait acquis en totalité la différenciation hypostatique. Mais on va pas se Plotin pour autant. Il s’agit d’un autre débat que la confusion avec les conciles de Trente ou de Nicée. Ici ce n’est pas un débat Bergsonien sur la recherche d’un supplément d’âmes, je me fous de la Con damnation. Entre travestissements et fausse vérités, entrées dans les annales, en ce domaine, il y a à boire et à manger entre le banquet de Platon, et le repas chez Lévy (encore lui, ça devient un tic vain très étroit) (Lévitique 20.13 et de trois !)
Les civilisations préchrétiennes voient le sexe d’une autre façon que notre morale phagocytée par les dogmes. Si l’on peut affirmer que cette pratique y était courante, non dans la doctrine biologique en adéquation avec la place laissée à la femme et sa maïeutique génétique, comme actuellement, mais plutôt dans sa vision sociétale établie, plus proche de l’état de nature (pas celle de Rousseau, on n’est pas des sauvages) mais de hiérarchie. Même si tout ceci est cousu de fil blanc, Sappho le détour ! Sauf pour les mauvaises langues : ne coupez pas les cheveux en quatre s’il vous plait.
La virilité est de mise, le héros, le guerrier et le dieu forniquent.
Attestées dans l’empire perse, l’amour des eunuques perdurera dans l’empire Ottoman, qui fera préférer à Soliman, la chaleur du corps d’un jeune garçon ou d’un homme à la froideur de la femme, suivant ici la tradition d’Artaxerxés ou Darius III se partageant Bagoas avec Alexandre le Grand.
La Démocratie grecque patriarcale est divisée dans sa réflexion, seul le citoyen ayant le droit de Cité. En bon mesquin, je vous soumets plusieurs courants qui s’affrontent :
Le Pédéraste, (un des plus connue étant Socrate). nécessaire à la formation des élites, par l’enseignement, aux moyens de relations de domination entre le mentor et l’élève, pour sa détermination à tous les aspects de la vie future et matrimoniale, par la transmission des savoirs de l’age à la jeunesse sous couvert de chasteté et de spiritualité, ouvrant le chemin des premiers péripatéticiens.
A cette occasion sortons du Marais, (pas celui de Cocteau), je vous rappelle que pédéraste ne prend son sens d’amour des jeunes hommes pubères qu’au XVIéme siècle et d’homosexuel qu’au XIXéme siècle de plus j’ai le regret de vous informer qu’il ne faut pas confondre avec pédophile. La relation sexuelle avec des impubères, très justement réprouvée par toutes les sociétés anciennes et modernes n’est pas l’apanage du pédéraste et ne s’emploie pas forcément au masculin. La notion est plutôt, pour les « Mickey », jus d’idéaux crétins, par forcément Orthodoxe pour prôner le mélange des genres.
Le Stoïcien puis le néo-platonniciens et derniers péripatéticiens, y voyant là un hédonisme douloureux, contraire à leur philosophie du plaisir en soi, basée sur la tempérance, et la contradiction entre la chair et l’esprit, ainsi voué à la honte et la mort. Epictéte Cicéron comme un débat sur le sexe des anges, finalement on commence a prendre sa vessie pour une lanterne et on se brûle à la lanterne d’Aristote.
Pendant ce temps-là le bataillon d’élite thébain, qui tirait sa force des amours de ses combattants, dans l’approche qui n’est mieux qu’un amant en qui ont en a confiance pour s’auto-protéger (Repris et encouragé par l’Armée Française, en 1914-1918 dans les tranchées. Qui d’autre qu’un amant vous protégera davantage en cas de coup de Trafalgar ? Faits longtemps passés sous silence, il est largement admis aujourd’hui par les historiens. Notons au passage qu’encourager ces amours particulières avaient d’autres avantages : limiter les désertions et éviter les viols des populations locales entre autres).
Corrélativement rendait caduque les velléités de Lysitrata comme pendant la guerre avec Sparte.
Cette relation de confiance fut d’ailleurs étayée comme un des chefs d’accusation des templiers qui pourtant respectait sans doute la chasteté.
Lesbien descendu ?
Si je suppute, selon certain, n’oublions pas Lily, pour l’égalité des droits en la matière, Sappho sur l’île de Lesbos au VIIème siècle avant J.C. chantait les amours entre femme, mais le physiologiste dira plus tard que ce n’est qu’une hystérique. Pour ceux que ça intéresse encore, l’étymologie d’hystérie est la maladie des femmes sans hommes. Mais n’oublions pas que la phallocratie est pérenne en la demeure, expliquant les relatives indulgences des hommes à cet égard dans les siècles et les pays. Il était cependant courant qu’une dame respectable se sente humiliée par la virilité de son mari du fait qu’il ne sache pas plaire aux hommes. Paradoxalement le premier féminisme actif est donc éclos dans la Grèce antique. Il faudra 2000 ans pour le retrouver.
Pour Rome de mémoire d’Hadrien par Jupiter quand Zeus deviendra un Begle (pardon un bel aigle) emportant Ganymède, Astarté par terre kelabim, la relation sexuelle est surtout un « usage social » établi : le penis en érection s’offre comme signe de réussite et de bonheur. Pour Apollon, un copain troyen, c’était des hiacynthes, pardon des jacintes, et la coutume dit « socratique », (xanthipe devait être très acariâtre), rend obligatoire à l’esclave de s’y soumettre, et a l’affranchi d’avoir la complaisance d’en remercier son ancien maître. Toutefois l’apologie virile introduit une problématique : le citoyen doit être un dominant et donc d’avoir un rapport actif. La notion de l’actif et du passif, était née et elle va changer la face du monde devenant l’aune d’appréciation du comportement et de ses zélateurs.
Ceci combiné avec l’avènement du christianisme, et Pan pour le berger, dans l’empire romain reprenant les philosophies stoïciennes, cette dualité de la chair et de l’esprit, de la réprobation à la répression le pas se franchit sous le règne de Théodose en 390, avec la première condamnation au Bûcher pour les Passifs.
On a quitté Platon, pour Plotin et Saint Augustin, arrive le commencement du règne des souverains poncifs. Mais a qui jeter le Pierre ?
Le naturel est circonscrit à la reproduction sans plaisir (sinon c’est un péché) a fortiori la fornication est bannie, acquiérant même le statut de contre-nature, quand on vous dit que le rire n’est pas le propre de l’homme ! Comme dirait ST Mathieu quand il laissait venir les enfants à lui, (vieille tradition dans les religions du livre, vous avez vu l’age de Marie, et d’Aïcha ou Sephora…) « le sexe c’est caca et faire le sexe dans le caca c’est pire ». Ce n’est pas encore Darwin mais c’est déjà la différenciation entre le sage et le singe.
LE SAGE ET LE SINGE MONTRENT LA LUNE ou LOTH NE TE RETOURNE PAS.
L’Avatar citoyen ou « le Pater familia », modélisé romain devient souche de l’esprit des lois naturelles, divinisées par ST Paul, quand il n’était pas occupé à casser les raisins aux Corinthiens, pour leur parler de Sodome, et autres légiféreurs un peu d’Aquin sur les bords thuriféraires d’empêchement de penser dans son coin. Dieu me prothèse, Loth, quitte la cafetière de Sodome, (selon la légende son oncle Abraham, vénérait le déca, logique, et souvent pour ceux qui m’auront pas encore con pris, lui disait tu me fais un « déca » loth !), et emmène ses filles loin des pratiques de Gomohre, les religions entrent dans le bal le crédo « croissez et multiplier » s’impose et tant qu’il y aura des hommes et parfois des souris, n’est -ce pas George (je vous en bouche un coin), la tapette n’est pas loin et le péché originel, c’est pour ma pomme. Saül payé
Si Adam avait été homo personne n’en parlerai. Depuis la genèse on va finir par comprendre que là où il y a de la Géhenne, point de plaisir. Représenté par cet homme contrevenant au lévitique ? Elle est amusante d’ailleurs cette société, pourtant si Platon y nique au banquet, s’en orgueillant de sa compagnie, et on en oublie l’objet de ses fornications, alors qu’elle en exclue encore Levy qui ne peut donc pas tiquer. Quand on vous dit que c’est une question de tentation.
LA TANTE A SION
Sous cet angle, L’homosexualité ne serait donc qu’un apport occidental à la vie en société. Là je pédale, voyons la vision avunculaire des religions sur la prépondérance de la position du missionnaire sur celle de l’infidèle.
Il court le furet ? Observant amusé les populations du cap sur la berge des ravins.
Deux écoles de pensée répressives théorisent l’éradication de la non-exponentialisation du cheptel.
D’une part le complexe d’Onan que l’on retrouve dans la pensée Maoïste, catalyseur de l’abomination que l’on trouve décliné dans l’acception judaïque qui tolère la contraception mais nous a donnée la gouine vers 1625-1655 (femme de mauvaise vie disons prostitué (que l’on retrouve dans le queen de l’argot anglais), tiré du normand guain (salaud) et de l’hébreu goyim (non juif) ou de la goule judéo-chrétienne)) mais aussi bouddhiste, condamnant également l’acte quand il n’est pas pratiqué dans l’orifice procréateur surtout quand il y a notion de douleur du partenaire. La variante japonaise est plus édulcorée.
Et d’autre part l’Acte contre-nature, Là c’est Staline qui nous court sur le haricot hongrois, dans la considération chrétienne et islamique focalisée autour du Lévitique chapitre 20, verset 13.
De plus, il y a les extrêmes que l’on retrouve dans les intégrismes, et les sectes, Mormons et Jehova entre autres condamnant l’adepte à un douloureux silence et une abstinence, sous peine d’exil communautaire. Mais ça n’empêche pas la captation d’héritage je vous rassure les bijoux de famille de Montgmorry Clift ont bien été emporté par ses coré légionnaires.
Les moyens encore, certaines avancés de l’Eglise Anglicane entre autre ou Orthodoxe, il faut dire que la prélature des deux sexes et marié, ça aide peut être, le summum étant les nominations d’évêques expressément gay. Mais aussi un certain assouplissements des religions du livre en ce domaine avec des tentatives d’ouvertures publicitaires, mais bon je ne vous rappelle pas les prises de position vaticanes de s’opposer toujours localement aux autorités pour toutes démarches tendant au pacte civil et au mariage non hétérosexuelle, ni celles de la mecque.
J’éviterai d’ailleurs les histoires de Mecque, évitons les sujets qui fâchent, le mien est déjà assez ambiguë comme ça. Disons qu’ils existent des associations de croyants homosexuels, tolérées par les hiérarchies de tous les courants précités, modérant l’anathème.
Enfin des centristes, ne connaissant pas le péché de chair, l’hindouisme n’accepte que la relation charnelle hétérosexuelle et matrimoniale, pas de chance.
Il est évident que l’anathème s’accompagne de la peine de mort pour le sodomite, par lapidation, castration et rôtisserie de la reine Pédauque jusqu’en 1750. Pour les mahométans la pendaison Iran y rend tyran petit patapon ou la prison chez les modérés.
Petite aparté cette législation applicable dans beaucoup de pays islamique, du fait du statut de la femme n’est applicable qu’au homme, le lesbianisme faisant souvent partie des phantasmes masculins ou vu comme une démonstration zoologique, il n’est souvent pas condamner par la charia. Finalement il y a à boire et à gousser pardon manger. Les gousses c’est surtout avec le gigot à l’ail qu’on en parle.
ELLE EST FOLLE CELLE-LA ?
O Tempora o Mora est ! Il faudra attendre 1869 pour que BENKERT médecin hongrois de son état définisse le mot « d’homosexuel ». Alors docteur ? cliniquement je suis quoi ? Ben c’est une déviance bien sur, l’homosexualité est donc une anomalie mentale, (retirée officiellement du catalogue en 1990 par l’OMS), n’y retrouve t’on pas les symptômes de l’hypersexualité, et la perte du bon sens ?
Comme telle, appuyée par le grille d’orientation sexuelle de Klein élargissant celle de Kingsley, elle était soignée, par l’électrochoc, la lobotomie, la greffe testiculaire d’hétérosexuel dans les années 60 en Allemagne et en France, avec ou sans analyse avec son cortège de causalités, déterminismes, castration ambiante, frustration, affirmation avec envoi en « camps de rééducations » souvent sponsorisés par les autorités religieuses et surtout par leurs succursales sectaires, comme aux état Unis. Bref la panoplie curative « des maladies mentales. » de base.
A l’instar de la parturiente qui se devait d’enfanter dans la douleur, pour la punir du « péché originel » (la pratique de la péridural est souvent déconseillées par quelques MEDECINS (mais bon entre le serment d’Hippocrate et d’Hypocrite…) très cons vaincants). Doit on alors être soumis au péril durable ? Et si Charcot n’étais pas passer par là, on brûleraient peu être encore les hystériques, ( je ne vous rappelle pas l’étymologie d’hystérique… ni que son traitement était l’hystérectomie jusqu’en 1960, c’est fou ce qu’on se marraient dans les années 60…Just do it, isn’t it ?) et si Korsakoff n’avait pas prôner l’abandon des camisoles de forces ? Où seraient Freud et Lacan ? Pour expliquer nos touches pipi, et l’amour de notre mère, tout çà m’Electre trie ce chambard ? Nos médecins de l’Ame et du corps veilleraient sur nous, dans un monde de piété pour l’AIDS, il y en encore qui pense que le fléau de 1982 ça veux dire Sauvagement Introduit Dans l’Anus. Bon allez vous allez dire que j’ai fumé du H si de doctes praticiens ne déterminait pas la voie de contamination au regard du Kaposi du patient.
Plus sérieusement, cliniquement le problème pourrait être du à un disfonctionnement mitotique fœtal de l’embryon toujours femelle, causant un hermaphrodisme partiel ou total, dont la solution chirurgical tente de résoudre la question, quand au problème identitaire on s’efforce d’y remédier par un prénom androgyne donné à la nouvelle fillette, mais demeure le problème psychique, renforcé par les dernières études sur l’identité de la pensé et du corpus cervical.
Mais pourquoi vouloir à toute fin trouver une raison à un choix ?
A quand une étude sur l’incidence de l’hermaphrodite de l’escargot de bourgogne dans le haut Vivarais du moyen Age et son incidence sur la consommation de la tarte aux fraises observé au mois de Juin dans les régions de la Vendée et de la Savoie ? Futiles ? En fut il, il en est ? C’est important ? Déviance ? Ok allez demain plutôt que de préférer les hommes et vouloir être Monogame, je phantasmes sur les talons hauts et le cuir rouge, je ne ferai l’amour que pendu au lustres et ne pratiquerait qu’en étude avec une cravate, je voyagerai pour voir Napoléon sur les remparts, promis demain je deviendrai Polygame et n’aurai qu’une sexualité normale débridé sans fidélité avec gadgets et culottes en dentelle, fouet et excréments, je me ferai talquer le cul et donner le sein, promis je deviendrai normal, je me masturberai plus qu’avec le tuyau de l’aspirateur ou avec une aubergine (je vous rappelle que sinon, je suis toujours en contact avec un homme à qui je procure du plaisir : moi-même ! Merci Woody Allen.). Promis je n’exigerai plus de mon partenaire que de n’être qu’un homme adulte consentant, j’exige le viol pour assurer ma virilité, je me forcerai à devenir pédophile (non merde c’est vrai je serai obliger de prendre des petites filles…. Voir Marc Dutroux, Emile Louis, et bien d’autres… ) pour entrer vivant dans la légende associant l’homosexuel au pédophile. (Tiens ! Au fait ! Je vous signale messieurs les ascenseurs de la pensée unique que (je me répète) l’on est dans un monde d’homme et que le Code pénal, très macho, ne reconnaît que la bite comme instruments de délit donc désolé, pédophile c’est malheureusement un nom commun masculin (inceste de citron pour les larmes ?) et que le viol d’un homme par une femme n’est pas reconnue comme tel (dommage n’est ce pas ? sauf avec objet, mais bon on va pas tuer le Viagra pour ça, l’homme battu n’est aussi pas non plus pas toujours reconnu)
Arrêtons là de faire des radios il y a assez de clichés dans cet album ! Promis demain je deviens comme vous, bel hétéro bien pensant : j’arrête de pisser pour devenir un homme qui ne touche plus le sexe d’un homme, et je rechercherai dans toute la chrétienté le saint caca du Christ ! Le miracle c’est que je devienne aussi pisse froid ?
Quittons la position du missionnaire, je demande pas d’y être infidèle, j’ai bien le « prie Dieu » mais pour être en pénitente je préfère fumer sans accessoire. La science n’est plus très sur que ce soit non plus une maladie, alors voyons la chair qui est faible paraît-il ? Dans la cuisine des anges qu’importe si notre rata prend du ton.
Au fait, si j’ai tenté maladroitement d’aborder la science des âmes, puisque l’orthographe est la science des ânes « PD ou pédé apocope de pédéraste de 1836, féminisé en pédale en 1935 dévalué en pédoque en 1953 et la péd de 1972, et comme un foc » dans un débat d’idée, recevez déjà celle-ci, beaucoup prêtent des mœurs à un mammifère marin coutumier du Harem où certes parfois traîne un jeune male, dans une expression qui provient d’une voile recevant les vents arrières, mais bon, on ne va pas se fâcher pour savoir qui est à voile et qui est à vapeur on ne cherche pas le piston non plus.
Alors ma cousine ? « DELIVRE NOUS DU MAL » ou « MA TANTE AU CLOU » T4 ou t’es pas cap ?
Serait-ce normal en ces temps ou tout foire de tout cotés, queue la boutique aux monstres soit toujours ouverte ? Alors pour un Credo pour notre crédit, tu me Suisse sur cette voix et entends ma prière :
Que ton « NON ! » soit sans intensité,
Que ta haine ne vienne,
Que ta volonté soit défaite sur l’alter, gomme haut fiel, part !
Abandonne nous aujourd’hui notre plein séjour,
Donne nous nos différences comme nous part donnerons à ceux qui nous ont offensés,
Ne nous soumet plus à l’attente a Sion mais à des livres durables.
Délivre nous de tout male saigneurs de « Je Suce »
Et donne nous la paix à notre clan.
Car c’est a nous qu’appartiennent le règne la puissance et la gloire, pour des siècles et des siècles.
Amène plus à quelques incultes qui ont le neurone gonadique.
Mais bon puisqu’on est censé laisser à la porte du temple l’homo, on le tue, a le dire asocial ? Il est vrai que l’inquisition n’a finie officiellement qu’en 1912 et en 1810 assisté à un bûcher était synonyme d’absolution. Mais par quelle « Camino » pardon chemin l’opus dei (pas la secte), mais le verbe est il encore présent jusqu’à nos alcôves ? Je ne sais….
Pour rappel (voir paragraphe “Lesbien descendu ?”) je disais donc que : sous le régne de Théodose en 390, on enregistre la première condamnation au Bûcher pour les Passifs. Mais c’était des temps barbares que notre civilisation ne serait connaître…
Je vais encore Déporté un peu sur mon temps de parole, mais ça évitera les questions. Dans la vie on n’est jamais trop aidé. La répression religieuse n’a plus court dans les états laïcs ayant abandonnés la religiosité. L’achoppement de la répression Laïque à l’assimilation par le contrat social chère à Rousseau, reste le combat à mener par les militants..
Là je vous parle philosophie pas engagement, qu’il y est Platon pour la caverne et le banquet, l’ombre d’Alexandre pour le cynisme de Diogéne et la lanterne d’aristote, j’aimerais voir Ni héro négatif, ni zéro positif.
Longtemps assimilé à un Comportement anti-social, jusqu’en 1789,et le dernier bûcher d’homosexuel datant de 1750 (quand on vous dit que la reine pédoque c’est une rôtisserie), le code de 1804 discrimine toujours l’âge de la majorité sexuel à 18 contre 15ans pour les hétéros, maintenant ainsi l’éventuelle poursuite pénale, il faudra attendre 1982 pour que le code civil abroge toutes les dispositions sur la discrimination pour orientation sexuelle sous la pression de robert Badinter. Puis les lois récentes sur la discrimination pour orientation sexuelle de 2002 et de 2004
Comme dirait un bien pensant, il pleure comme une fille, et c’est avec ce genre d’éducation que l’on nous pond un jour le mélange des genres et le particularisme sexué de l’encéphale, qui peut être est vrai mais qui risque à longs termes de donner du grain à moudre aux antiparitaires.Au passage, a-t-on pensé combien il est dur pour un homosexuel de vivre son homosexualité au grand jour dans un monde hétéronormé ? Vous êtes-vous demandé combien de forces il faut à un gay pour s’assumer ? Qui de l’hétéro ou de l’homo devra s’armer le plus pour affronter son destin ? L’expression populaire “c’est pas un sport(*) de pédé” s’adresse-t-elle réellement au bon mec ? (*) remplacez cette mention par ce que vous voulez : boisson, travail, truc quelconque…). La question reste posée ! Quel véritable HOMME pourrait vivre pareille ignominie ? Les réponses arrivent ci-après, si vous ne vous êtes pas encore lassé par mes propos et si vous êtes encore là pour me lire…
C’est la vie en rose ?
Symphonie pour triangle et orchestre. Tu ris oncle Bent ? Pour les fans d’Akhenaton (Aménophis IV) pour les puristes, on coule chaînes. Sang attiser les passions.
En 1935, sous couvert du paragraphe 175 actif de 1871 à 1994 dans le code allemand qui permettait l’arrestation pour homosexualité jusqu’en 1970, Hitler, déporte les ‘TRIANGLES ROSES » qui par milliers seront torturés, et sujets d’expériences médicales, mourant eux-aussi en grand nombre, la mesure s’étendant à toute l’Europe au prorata de l’avancée des troupes d’occupation. Pourtant, l’Eglise protestante en fureur après le Fuhrer, l’a fait reculer sur la solution T4 qui ce devait aussi d’éradiquer tout les malades mentaux (et les vieux), comme quoi quand on veux on peut. Il faudra attendre 2001 pour que la France reconnaisse le statut de déporté à ces réprouvés du système qui ont connues Bergen-Belsen pour les filles et Mauthausen, Neuengamme Dachau, Sachsenhausen, Buchenwald pour les garçons, et dans les années 60 la police allemande faisait encore des descentes chez les célibataires soupçonnés de pratiques homosexuelles.
Pas en reste la France de 1946 monte le fichier des homosexuels (ceux qui ont échappé aux Raffles précédentes sans doute), officiellement fermé en 1976 officieusement en 1982, comme dirait Edwige qui va payer l’ardoise ? Tout ça paraît-il en préparation de la loi de 1947 sur la fermeture des maisons closes.
Au Etat Unis une des descentes de trop au Stonewall-in un bar de New-york provoquera les émeutes de Christopher street le 28.06.1969 initialisant la marche des fiertés connue en France et d’autres pays sous le nom de la « gay-pride », bien relayée par les média qui n’omette jamais les bon plans sur le minet décoloré, les sœurs du perpétuelle secours, et le motard village people .
Il est vrai que les camionneurs sont des femmes et le macho se pose toujours la question palestino-bretonne mais qui sera “Elle” ? A la reine, il est vilaine.
S’intégré dans la société est un leitmotiv récurant des associations de lutte contre l’homophobie, pas que la société s’intègre dans l’homophilie. D’où le PACS compensateur de la tontine souvent éludé. (utilisé à 86% pour les hétéros…). Mais que fait la S.P.A. (pas celle d’Hugo ni de Grammond) puisque nous étions digne des Assises, le père François se révèle même au Goût bio un loup pour nous donner des noms d’oiseaux et nous traiter en chien. Dieu est mort ? (nietzche) le sage montre la lune et le fou regarde le doigt….mais que fait le beau chien ? Parce que en Ruth je ne veux pas faire le Booz, parce que en rut je ne veux pas faire le beau ? De toute façon, moi, j’attends le divorce homo pour être intégré, j’inviterai un avocat au dessert.
Gode serve the Gouine « délivre nous du mâle.» olisbos la levrette sent le doigt. La levrette pour l’infidèle après avoir remué la queue à force de prendre des coups commence à mordre. Mais bon j’ai assez abusé de votre temps, plantons la tente sur le gazon maudit et partons nous coucher.
CAMPING
Dans notre village de tente, en France et dans le monde, quelques repaires :
- 1970 création de la L.G.B.T. (Lesbienne, Gay, Bi et Transsexuel)
- puis la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie fondée le 17 mai 2005 célébrée dans 60 pays,
- sos homophobie (tel :0810108135),
- le 15.06.2006 adoption par le parlement européen de sanction pour les états ne luttant pas contre l’homophobie et reconnaissance de la journée des fiertés,
- 26.03.2007 le principe de Yogyakarta présenté au conseil des droits de l’homme,54 états adhérents,
- 2008 sur proposition de la France déclaration aux nation unis d’un texte sur l’orientation sexuel signé par 67 pays.
l’homosexualité est surtout une affaire personnelle, comme telle si elle n’influx pas sur le comportement en tenue et en société, elle n’est matière à discutions, comme tout les métaux qui peuvent polluer nos atmosphère, arrêtons la culpabilité halieutique, que l’on aime les moules, la choucroute, ou les paysages landais, que l’on soit accélérateur, ou embrayage, voir frein, chacun est dans le même véhicule. Pédale de gauche, pédale de droite, pédale du centre, l’extrémisme de tout bord cherchera pour faire embarder le char de l’état à écraser la pédale.
Ce qui doit nous intéresser est la capacité de cœur et de raisonnement de l’individu, pas ce qu’il met dans son lit, tant que c’est humain, majeur et consentant, qu’importe s’ il flashe sur les brunes, les talons hauts, ou les moustachus. A tout prendre déontologiquement il vaut mieux un homo fidèle qu’un hétéro volage.
L’homosexualité n’est pas un discriminant positif ou négatif, et quoiqu’en pensent certains n’est pas un critère de recrutement.
Pourquoi tu ris Emmanuel dans le train qui te mène à la mort ?
« les cons !!! Je suis résistant ! Et de plus, ils ne se sont pas aperçu que j’étais également juif-polonais, homo, franc-Maçon et syndicaliste !!!»
Personne ne voudrait engendrer de la chair à canon certains plus que d’autres.
N’en déplaise aux homophobes : J’ai dit.